Sega Megadrive — l’affrontement des minis !

Il est bien connu que SEGA a mis quelques années de recul avant de comprendre que le retrogaming était porteur et notamment porteur de gros billets verts !

 

Si Nintendo a lancé la mode des mini-HD avec la NES et la SNES mini, toutes deux inspirées des succès des boitiers pour Raspberry Pi à l’image des consoles mythiques de la marque, c’est SONY qui a emboîté le pas avec sa Playstation Classic à la finition logicielle clairement indécente en regard de ce que proposait la firme au plombier moustachu et avec un setup de jeu trop hétéroclite et sans aucune considération pour les problèmes de localisation ou de zone.

De son côté, SEGA ayant cédé sa licence de la marque Megadrive/Genesis à AtGames, la firme Nippo-Américaine a laissé sortir une Megadrive Flashback HD par ces derniers avec un résultat en demi-teinte puisque l’émulation n’avait pas évolué depuis les versions de base, les choix de jeux étaient discutables et l’interface peu reluisante bien que supérieure à celle de SONY.

Lorsque la marque au hérisson se réveilla enfin pour proposer « sa » Megadrive mini, tout le gotha de la presse vidéoludique fut unanime pour dire « voilà une vraie Megadrive mini qu’elle est belle et qu’elle est parfaite et qu’elle est ultime… fontaines de foutres façon arrosage Stade de France » ou quelque chose comme ça…

A la veille de la sortie de la « Megadrive 2 Mini », nous allons revenir sur la première version pour nous demander si tout cet engouement valait bien la peine.

 

Premier comparatif, l’aspect extérieur :

Pour ce qui est des NES, SNES et PS Classic, tout est presque parfait !

Il s’agit de reproductions à l’échelle 1/2ème pour la console avec des manettes au format 1/1 pour la prise en main (la famicom mini a bien des manettes au 1/8ème pour cause d’intégration à la coque et ça la rend injouable…) l’esthétique cède à la nécessité de ports manettes propriétaires ou USB pour assurer des branchements conforts (le clapet de la SNES mini n’étant pas la meilleure idée avec son clapet protège USB qui pendouille pendant l’utilisation).

Pour ce qui est des versions SEGA, ça dépend !

Les consoles AtGames vendues pendant des années et perçues par le grand public comme « Megadrive Mini » sont certes bien plus compactes que l’originale et contiennent toutes un set de jeux plus ou moins grand mais elles ne proposent qu’une sortie vidéo composite avec une émulation en demi-teinte pour le NTSC 60hz et « power à chier » en PAL 50hz, notamment en ce qui concerne Sonic 2 à 2 joueurs ou l’écran splitté doit proposer du 480i au lieu du 240p (soit 240 lignes par joueur…) ce en quoi cette version échoue lamentablement puisque les 2 joueurs se retouvent ici avec 120 lignes chacun et des pixels de la taille d’une brique. Il faut noter la présence d’un port cartouche au vrai format Megadrive.

La version Flashback HD, toujours de chez AtGames propose un set de jeux « discutable » mélangeant 8, 16 bits et 8bits portables… la sortie HD est accompagnée d’une sortie composite et les jeux fonctionnent de base en 60hz même sur console PAL. Le port cartouche même permet de dumper momentanément un jeu physique et d’y jouer. Malheureusement, l’émulation sur Sonic 2 pêche encore sur l’impossibilité d’afficher du 480 entrelacé.
L’apparence de cette console se rapproche d’une Megadrive au 3/4 mais avec des points problématiques :
-le bouton de volume est absent
-les prises manettes DB9 sont au milieu de la façade et non décalés sur le côté
-le port cartouche est fonctionnel mais trop gros en regard de la miniaturisation de la console

La SEGA Megadrive Mini officielle est une reproduction au 1/2 fidèle en tout point !

Le bouton de volume est bien présent même si factice, le clapet d’introduction des cartouches est également là même s’il n’y a pas de connecteur de quoi que ce soit en dessous et il en est de même pour le port d’extension destiné au Mega CD. Les ports manettes, même si USB, ont bien rejoint le côté de la façade.

 

Deuxième comparatif, le type de pad proposé :

Pour les Megadrive AtGames (composites ou HD), ce sont des pads 6 boutons qui sont fournis (avec ou sans fil selon les modèles) ce qui est bien pratique pour Street Fighter 2 notamment ainsi que pour les quelques productions qui les utilisent (qui a dit « nightmare circus » ?). En réalité il y 61 jeux qui savent utiliser cette manette dont la moitié pour laquelle elle est indispensable (liste sur ce post de paderetro https://paderetro.com/2014/04/07/les-jeux-sega-megadrive-utilisant-la-manette-6-boutons/ ) Néanmoins, la qualité des plastiques et la solidité générale laissent parfois à désirer.

Pour notre mini officielle ce sont des pads au format original 3 boutons + start qui sont fournis (à l’instar de la PS Classic et de ses manettes non-dual schock) ce qui ravira les puristes mais fera se poser la question de la présence de STF2 dans le set de jeux. La taille est respectée ainsi que le poids pour la prise en main.

Histoire de nous finir le portefeuille, des manettes compatibles 6 boutons sont disponibles chez retrobit avec une finition et un toucher excellentissimes (et compatibles PS3, Raspberry Pi, Switch, PC, etc…)

D’ailleurs après avoir (parce que j’aime le bleu…) commandé la manette 6 boutons en version Clear Blue, j’ai commandé une deuxième en version Crimson Red (parce que ça démarquait bien le joueur 1 du joueur 2…) et je me suis aperçu au déballage que si la bleue était une fidèle reproduction avec son bouton mode sur la tranche, la rouge a le bouton mode en façade et des gachettes L et R sur la tranche comme une manette de SNES. Il semble que retrobit a fait le choix d’ouvrir les possibilités au détriment de la fidélité au modèle de base…
Ces manettes sont parfaites aussi pour ceux qui ont un boitier MegaPi Case pour Raspberry.

 

Troisième point de comparaison, le set-up de jeux :

Les mini megadrive At Games ont existé en une chiée de versions et donc avec des choix de jeux et des thématiques variés et variants… de 10 à 80 jeux inclus dont au moins un tiers de jeux casual chinois programmés avec les pieds.

La Megadrive Flashback (toujours de chez At Games) propose 45 jeux Megadrive officiels + 28 titres chinois (en 2022, toute mention d’une nationalité ou d’une provenance ethnique pour exprimer un défaut donnant lieu à chasse aux sorcières pour « racisme » et « xénophobie », Matsilent fut envoyé suite à cette dernière phrase au Wokistan pour y être rééduqué par la milice des élèves de Sciences Po… la rééducation étant une habitude historique chinoise qui donne ici à la situation une ultime pointe d’ironie…) et 12 jeux Game Gear et Master System parce que… pourquoi pas ?

Du côté de la SEGA Megadrive Mini, ce sont 42 jeux officiels qui sont fournis représentant une grande partie de l’univers de la console, il y a même quelques jeux traduits de manière officielle pour la première fois en Occident comme « Monster Worl IV » par exemple.
En plus, en changeant la langue dans le menu paramètre de la console, vous pouvez avoir accès aux versions dédiées au marché correspondant comme pour « Probotector » en français qui redevient « Contra Hard Corps » si on remet la console en japonais.

 

Dernier point, les options :

Chez les AtGames historiques, c’est simple, on est sur de l’analogique à l’ancienne… il n’y a rien concernant la vidéo puisque l’image est en basse résolution transmise par un signal vidéo composite.
Il n’y a pas non plus de gestion de save-state

Evercade – du doute à la consécration

Il y a des fois ou certains projets peuvent sembler fous, téméraires ou juste cons comme c’est pas permis.

Il y a d’autres fois où il faut reconnaître que les fous, les téméraires ou les cons étaient justes de courageux visionnaires.

Depuis quelques années, grâce (ou à cause…) d’aliexpress et d’autres sites de distribution chinois à bas prix, il est possible de trouver une multitude de consoles d’émulation et de contrefaçon pour revivre à loisir et avec une qualité variable le plaisir des jeux vidéo rétros et ce avec des packs souvent parfaitement illégaux de milliers de jeux intégrés. (et aussi pour plus de 200 à 800 balles chez les « Han Culey Du Sud », les « Tartuffes de l’Aube » ou les « Escrocs du Doubs »!)

C’est au milieu de tout cela que Blaze (vous savez les clones de Megadrive avec un son à chier…) sort en Avril 2020 la console Evercade, une console portable dédiée à l’émulation légale 8 et 16 bits avec des compilations de  jeux en cartouches.
Cerise sur la tarte aux quetsches : il y a une sortie HDMI pour jouer sur la télé !

Honnêtement, je me suis dit que le matériel était beau, bien conçu, qualitatif, agréable, efficace mais que ça ne marcherait jamais face à toutes les solutions existantes, les compilations disponibles sur switch, les solutions pirates diverses et variées, les merdes portables de chez My Arcade…

Et pourtant, ça semble prendre… je regarde Eric de la chaîne « Alex Express » et Michel de « Old School is Beautiful » tester et commenter les jeux qui sortent sur cette console, ânonner tout le bien qu’ils en pensent à longueur de vidéos et croyant fermement à une percée concrète.

En Septembre 2022, nouvelle sortie : l’Evercade EXP, une version sous stéroïde plus belle, plus grande, plus « switch », plus mieux, plus tout ! (plus chère aussi) et parfaitement compatible avec la console précédente.

Juste après, une version de salon, la VS, sort en proposant un double port cartouche et 4 prises manettes.
La boucle est bouclée, en 2022 on peut acheter une console de salon pour jouer à des jeux 8/16/32 bits avec maintenant des créations originales dédiées au support.

Novembre 2023 : consécration avec Hyper Mega Tech qui sort la Super Pocket, une console portable format gameboy « compatible evercade » en deux versions « Taito » et « Capcom », chacune contenant 12 jeux de l’éditeur cité.
Ces versions cartonnent dans les magasins même si elles perdent le port vidéo HDMI mais gagnent en portabilité.

Quel est donc le secret de cette réussite?
La curiosité? sans doute… La nostalgie? indéniablement… La connerie?…

Pour nous le secret est ici : la cartouche !
Achetable, prêtable, stockable, échangeable, collectionnable… Avec une boîte et un manuel !

Dans ces heures de dématérialisation acharnée et de suppressions massives de jeux des principaux stores en ligne (à l’époque Nintendo et le DsiWare, aujourd’hui avec SONY et le Playstation Store), le support physique regagne peut-être en intérêt devant des acheteurs effrayés d’avoir perdu leurs jeux dont ils n’avaient au final acheté qu’un droit temporaire d’utilisation.

A contrario, la cartouche physique rassure son propriétaire car le seul obstacle qu’il a en face de lui est le temps contre lequel on ne peut rien et qui mettra fin un jour, naturellement, aux possibilités d’usage de son matériel. Cela est déjà le cas avec les cartouches de notre enfance qui contrairement aux prévisions fonctionnent toujours en 2023 et au pire doivent avoir la pile de sauvegarde changée pour repartir sur 20 ans de bons et loyaux services.

Surtout, les cartouches evercade, avec leur nombre de jeux limité (6 à 8 pour les vieilleries, 1 à 2 pour les nouveautés et les créations) évitent le phénomène dont nous parlons souvent sur le site ou en conventions : l’embarras du choix !

Sur des systèmes comme recalbox, hyperspin, batocera, ou les OS approximatifs de merdes chinoises, tout nous perd et l’envie se dilue et se délite… on passe souvent plus de temps à scroller dans les menus, à s’esbaudir devant les souvenirs amenés par les titres et les animations que de temps à réellement jouer.

Sur l’evercade, quel que soit le format de console choisi, on vit ou revit l’expérience gestuelle du choix de la cartouche que l’on charge comme on charge une arme avant le combat et que l’on va « poncer », forcé à la complétion et au creusage des possibilités, le plaisir venant comme souvent de la contrainte à surmonter (comme quand on regardait le codage canal+ du samedi soir en agitant frénétiquement une passoire devant nos yeux… d’une main)

Voilà, je vous laisse ici avant de retourner me claquer Tanglewood sur ma Super Pocket et je vous dis « @+++++ »

Holy Diver sur Famicom

Holy Diver est le premier album du groupe de heavy metal américain Dio publié en 1983.

 

C’est la 666e année de l’ère du monde de la magie, et le Royaume Crimson fait face à la destruction aux mains de Black Slayer, Roi Démon de l’Empire Sombre Souterrain. Réalisant que ses jours sont comptés, le 16e empereur de Crimson, Ronnie IV, décide de confier ses deux fils en bas âge, Randy et Zakk, à son fidèle serviteur, Ozzy. Alors que les forces de Slayer se rapprochent, Ozzy, Randy et Zakk s’échappent dans une autre dimension, dans l’espoir de ramener éventuellement la lumière dans le monde.

Au cours des 17 années suivantes, Randy, Zakk et Ozzy se consacrent et s’entraînent à la Sainte Magie de Justice, devenant des rois sorciers. Pendant ce temps, Black Slayer a accru son emprise sur le territoire, rendant ses forces interdimensionnelles encore plus fortes. Afin de vaincre Black Slayer et son armée, Randy doit récupérer les Cinq Sceaux de l’Emblème Crimson. Pire encore, Randy doit maintenant mener sa guerre contre Black Slayer seul, car Zakk disparaît soudainement et Ozzy décède.

black sabbath + slayer = black slayer

king crimson = King Crimson est un groupe britannique de rock progressif, Le guitariste Robert Fripp en est le seul membre permanent

Aussi, à la fin du jeu, on peut voir qu’il y a d’autres références musicales, telles que King Crimson, Slayer ou encore Zakk W. et Randy R. (Zakk Wylde et Randy Rhoads, ont été guitaristes pour Ozzy Osbourne.)

Bien qu’Holy Diver a été développé par Irem, il ressemble beaucoup à un jeu Konami. Il est assez similaire à Castlevania et un des niveaux reprend des textures ressemblant à celles de Contra.

iNes Mapper 078 de Irem (2 jeux seulement Holy Diver et Uchuusen – Cosmo Carrier)

version MMC-1 pour les repros

NES :
27C1001 (128k), 27C2001 (256k)

Guitar Hero sur Megadrive « do Brasil »

La console MegaDrive de SEGA est née en 1988 au Japon pour mourir officiellement dans sa version Genesis 3 en 1999 aux Etats Unis.

Le jeu Guitar Hero est né sur PS2 en 2005 et sa dernière itération date de 2015.

Officiellement, donc, ces deux mondes ne se sont pas croisés mais c’était sans compter sur les Brésiliens de Tectoy qui font vivre la megadrive depuis 1990.
Ils ont d’abord fournit la Megadrive en 1990 puis leur première version de la Megadrive 2 en 1992 dans le form-factor de la Megadrive 1… et oui, chez tectoy la tradition sera de renuméroter les versions au gré du vent.
Leur première version de la Megadrive 3 sera donc dans le form-factor de notre Megadrive 2 et sera vendue en plusieurs versions jusqu’en 2005.
La deuxième version de la Megadrive 3, sortie en 2008, sera vendue sans port cartouche et comprenant 86 jeux, le tout présenté dans un nouveau boitier siglé Tectoy.

C’est là que la magie arrive ! Tectoy sort en 2009 la MegaDrive 4 « Guitar Idol » qui comme la Megadrive 3 n’a pas de port cartouche mais possède 86 jeux du modèle 3 plus le jeu « Guitar Idol » jouable avec une guitare identique à celle des Guitar Hero.

En 2010, Tectoy sort la deuxième version que nous possédons et qui, en plus des 100 jeux fournis, est équipée d’un port SD permettant de lire des mp3 mais surtout d’exécuter des roms Megadrive (en .bin) et Master System (en .bms pour Brazilian Master System).
Bizarrement les jolies couleurs des boutons de la manette qui permettaient de suppléer à une deuxième guitare disparaissent pour laisser la place à un blanc immaculé.

Merci à Mehdi de nous avoir procuré cette petite merveille… attention, c’est le moment ASMR !

Le jeu Guitar Idol a été développé par la société brésilienne Interama Games et profite des capacités « boostées » de la MD4. On ne va pas se le cacher , c’est une copie pure et simple de « guitar hero » dans l’esthétique comme dans le fonctionnement.

Mais alors, ce pseudo Guitar Hero… ça donne quoi?

Tout d’abord, c’est un peu long à lancer… il semble que le fonctionnement de la console ressemble au fonctionnement d’un everdrive interne qui écrase le jeu précédent avant de charger et exécuter le jeu à partir d’une eeprom.

Visuellement, on est devant un guitar hero basique (en portuguais bien sûr) avec 5 chansons ouvertes et les suivantes à débloquer, le tout sur trois niveaux : débutant, intermédiaire et professionnel.

Pour ce qui est du son… mais comment qu’ils ont fait ? ont-ils reprogrammés les morceaux en 16 bits ? non! La console est capable de lire des mp3 stockés en interne et ce sont donc les vrais musiques (en mono) qui sont jouées en arrière-plan, ce qui est impossible avec une vraie Megadrive…

Pour ce qui est de la précision, on repassera… d’une part on est sur du pur on/off sans gestion de la pression car après tout on est juste sur une manette megadrive en forme de guitare (rien de plus, rien de moins).
J’ai d’ailleurs débloqué le troisième morceaux (all the small things – blink 182) juste en respectant la ligne rythmique avec le bouton vert.

Vu que les produits Tectoy correspondent au pouvoir d’achat brésilien, il est heureux qu’ils se soient penché sur une manière intelligente de faire connaître le gameplay fabuleusement addictif de Guitar Hero à des utilisateurs qui ne peuvent pas s’offrir une PS2 et les instruments nécessaires.

Au final, pour ceux qui souhaiteraient se servir de cette Megadrive 4 « Guitar Idol » pour héberger leur fullset MegaDrive, il ne faudra pas oublier que l’émulation de cette Megadrive On A Chip est loin d’être parfaite et que vous allez devant de gros désagréments quand à la qualité et la régularité du son. Les jeux ne pourront pas dépasser 24 Mbits non plus sous peine de blocage de la machine avec un bel écran rouge vif.
En bonus, ou plutôt en malus, la manette 6 boutons fournie est rarement reconnue en tant que tel et je vous conseille fortement de jouer avec des manettes tierces.

Sinon, ça ne vous rappelle rien? des jeux capés à 24Mbits, un pseudo everdrive bien lent qui n’accepte que les extensions .bin pour les roms MD, une présentation ressemblant à celle des Megadrive At Games (en plus moche), le son qui accélère et ralentit régulièrement…
Et bien oui, grâce à un bug de chargement d’un jeu Master System nous sommes tombés sur un écran AtGames! Cette Megadrive 4 Tectoy est donc propulsée par un moteur FireCore.
Je sais que ce système est détesté par beaucoup mais il faut se rappeler que pendant des années avant que ce ne soit la mode du retrogaming, ces petits boitiers atgames imparfaits étaient les seuls moyens d’accéder au monde Megadrive.

 

sources :

https://segaretro.org/Mega_Drive_consoles_in_South_America

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guitar_Hero_(s%C3%A9rie_de_jeux_vid%C3%A9o)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mega_Drive

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tectoy

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mega_Drive_4_Guitar_Idol

https://segaretro.org/Mega_Drive_4_(Tectoy)

https://segaretro.org/Mega_Drive_3_(2008)

https://www.gamopat.com/article-35766205.html

 

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