Notre collection de bizarreries continue avec un sens tout particulier de l’ordre alphabétique puisque nous revenons momentanément à la lettre « F » .
Un état d’esprit qui finalement correspond assez au matériau exposé…
Fire Dragon
Comment décrire ce jeu ? Ah bah oui, c’est le jeu du Snake… juste un bon vieux Snake à l’ancienne avec un dragon à la place du serpent.
Fire Emblem
Un portage non officiel du jeu SNES du même nom… Nous n’avons pas pu faire un test abouti puisque c’est un RPG en chinois et que donc nos limites linguistiques nous ont stoppé net.
Cependant le jeu est fluide et vraiment joli.
Harry’s Legend
Je n’aurais jamais imaginé un jour voir un croisement entre « Harry Potter » et « Lester – The Unlikely » et pourtant le voici, le voilà !
C’est un jeu dont on hait le héros bien avant de haïr les ennemis ou le gameplay.
De plus, on se demande vraiment en quoi notre héros serait Harry Potter car ici, pas de magie, pas de chouettes messagères, pas d’Hermione en jupette-string apparent, juste un coup de pied bas pour se débarrasser des ennemis.
Au démarrage, on a le choix entre 5 niveaux dont les level-designs sont difficilement classable entre sur la célèbre échelle du « à chier » !
Les gouffres doivent se franchir au pixel prêt alors que vos sauts sont approximatifs, les ennemis apparaissent en décalage quand le scrolling avance, et surtout il y a ce fameux rebond en arrière quand on se fait toucher qui est plus létal que les ennemis eux-mêmes puisqu’une fois sur deux on tombe dans un gouffre ou on rebondi contre un autre ennemi façon boule de flipper (qui roule, qui roule…).
Hot Slot
Ca peut vous étonner mais c’est un des jeux les plus rares et les plus chers à la revente sur Famicom… Pourtant c’est un Pachinslot (Pachinko en version électronique, le type de machine à sous numéro un au Japon depuis plus de 50 ans) tout ce qu’il y a de plus banal.
Hunting in Red October
YYYEAAAHHH ! Un vrai jeu ! Inspiré librement du livre/film éponyme.
L’intro est plus que minimaliste puisqu’il s’agit juste d’un simple texte à l’écran.
Par contre, le jeu, bien que vieillot en apparence, offre un bon challenge et une fluidité d’action qui fait plaisir à jouer.
C’est un shooter à défilement horizontal où on dirige un sous-marin qui dispose d’un tir de base et d’un lancer de torpilles. Le but est moins de tuer les ennemis que d’arriver à la fin du parcours.
Kart Fighter
Croyez-le ou non mais c’est un jeu de combat avec les protagonistes de Mario Kart !
On y a le choix entre 8 combattants mais de toutes manières, les déplacements sont lourds, les sprites clignotent, les coups sont limités et le design des niveaux est pauvre à crever.
King Of Fighters 96
Les portages de jeux de combats sont à la mode chez les nouveaux programmeurs sur NES/Famicom.
Cette version propose un gros nombre de combattants mais beaucoup sont des doublons.
Les combats fonctionnent sans être exceptionnels pour autant, les personnages sont un peu petits mais bien dessinés et se déplacent de manière fluide.
Ce qui est étonnant est le soin particulier apporté aux détails dans les décors jusqu’à parfois en gêner la lecture des combats.
King Of Fighters 97
Le titre du jeu aurait dû être « déception », une intro magnifique …. et puis plus rien…
Même l’écran de sélection des personnages répond mal.
En plus, le jeu est laid… très laid.
Les arènes de combat sont vides et minimalistes…
A oublier d’urgence…
Voilà, une autre fournée de livrée !
Nous nous retrouverons bientôt pour la suite de notre immersion dans le monde du non-officiel sur NES.
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